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Nathalie Birchem publiait dans la croix un article intitulé : "La fin du salariat, vraiment ?"

Le travail indépendant se développe à tel point que certains pronostiquent déjà la fin du salariat. Sans aller jusque-là, le monde du travail connaît des transformations profondes.

  • Plus d’emplois non-salariés
  • Mutations de l’économie
  • De nouveaux outils numériques
  • Neuf embauches sur dix se font en contrats précaires
  • Des frontières entre statut de plus en plus poreuses
  • LA QUATRIÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE MENACERAIT 5 MILLIONS D'EMPLOIS

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Colloque Qui a peur de la concurrence ?

Le 9 Février 2016, venez participer aux débats dès 14h30 à l'ENA. 

Au programme : 3 tables rondes, 11 intervenants, 4 keyspeakers...

Denis Jacquet cofondateur de l'Observatoire, sera parmi les invités.

 


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Envoyé spécial sur France 2 propose une enquête plutôt éclairante sur un sujet d'actualité : l'uberisation de la société.

Une enquête réalisée par Pierre-Olivier Labbé qui tente une vie entièrement prise en charge par des applications. Trouver un appart, un taxi, un camion pour traverser la France, une baby-sitter, un hébergement à Lyon, un restau indien chez des gens… Tout se situe à portée de clic.

Bienvenue dans le monde des start-up et des algorithmes qui mettent en relation des offres et des demandes de particuliers. Plus d’intermédiaire. Une économie dite de partage et de collaboration qui prolifère et transforme chacun de nos besoins en un nouveau marché. Direction la Californie : à la maison, on passe chercher votre linge sale au kilo et, en vous géolocalisant, vous choisissez sur catalogue un toubib diplômé qui vient vous soigner. Le pressing et la médecine, c’est pareil, c’est du service.

Et si tout est service, alors tout est soumis au critère roi, la loi des lois : la satisfaction client.Bienvenue dans un monde, où tout le monde note tout le monde. L’évaluation, un rite globalisé.Le partage a viré au culte de la performance. De même que la notion de collaboration s’est transformée en exploitation de l’homme par l’homme. Outre-Atlantique, les applications sont devenues si nombreuses, la concurrence si féroce, qu’elles baissent les prix. Ceux qui en tirent leur revenu constituent désormais des hordes de travailleurs qui accumulent les petits boulots sans contrat, sans assurance maladie, sans congé, sans chômage. Un sujet au cœur des présidentielles américaines.  

En 45 minutes, Pierre-Olivier Labbé va voir des deux côtés du miroir dans une société qui s’est profondément transformée, qui s’est « uberisée ».

Ma vie uberisée, dans Envoyé spécial, avec Grégoire Leclercq et Denis Jacquet dans le rôle d'analystes.


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Dans les débats à la télé ou les articles de presse, l'ubérisation est mise à toutes les sauces. Concept gigogne, il est devenu synonyme de disruption dans l'économie et est souvent confondu avec l'économie collaborative. Sauf que si les 2 tendances sont nées grâce aux nouvelles technologies, elles n'ont pas les mêmes conséquences sur l'économie. Explication.

Le mot ubérisation a été consacré parmi les 12 mots les plus cités de l’année 2015. Presse, économistes, politiques, hommes d’affaires, investisseurs, entrepreneurs: tous parlent d’ubérisation et s’affrontent sur le sujet. Mais aucun n’a réellement pris le temps de définir le terme, et de le distinguer d’autres phénomènes économiques proches mais sensiblement différents. Il existe ainsi derrière ce "vocable" de nombreuses interprétations parfois fausses, souvent imprécises. Tentons en quelques lignes de bien faire la différence entre économie collaborative, économie du partage, gig economy, disruption et ubérisation.

Un point de départ: le digital pour tous…

Une récente étude de l'Organisation des Nations unies classe la France en tête du classement européen et en 4e place du classement mondial sur les services en ligne proposés par l’administration, les infrastructures de télécommunications, et le niveau d’éducation des habitants. Par exemple, notre pays dépasse largement, avec plus de 13 millions de bornes publiques, les États-Unis (9,58 millions de bornes). Et en un an, 400.000 étudiants ou salariés ont suivi un MOOC (Massive Open Online Courses) une formation en ligne, quand 83% des Français utilisent internet, contre 75% en moyenne en Europe, selon l'Insee…

…fait naître les pratiques collaboratives

L’économie collaborative repose sur des pratiques basées sur un système de confiance et sur des communautés qui transforment la façon dont nous vivons, travaillons et créons de la valeur. Son périmètre est vaste: la consommation de biens et services (Le Bon Coin, AirBNB, BlablaCar), le financement (KickStarter, HelloMerci, Friendsurance), l’éducation (livementor, KhanAcademy), la production (Wikipedia, FabLab, Quirky, Youtube), la gouvernance (Holacracy, laprimaire.org)… Ces pratiques sont bien évidemment renforcées par notre adhésion massive aux réseaux sociaux, qui poussent le consommateur à faire "communauté" et donc à mettre en commun des biens, des services, des avis, des expériences, des productions.

Lire la suite sur http://bfmbusiness.bfmtv.com/01-business-forum/uberisation-ou-economie-collaborative-ne-confondez-plus-voila-les-differences-946625.html


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TEMPS FORT D'ACTUALITÉ : PLÉNIÈRE SMALL BUSINESS TECH du salon des Entrepreneurs
Les incontournables de votre transition digitale !

Devenue réelle nécessité, la transition numérique est un véritable accélérateur de croissance pour les entreprises en quête d'agilité et de développement commercial. Site internet, référencement, nom de domaine, réseaux sociaux... Quels sont les outils incontournables de cette transition et comment bien les utiliser ?

Denis Jacquet y interviendra pour évoquer l'ubérisation.


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  • Date de Publication: 28/01/2016
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Denis Jacquet intervenait au colloque organisé par @croissanceplus : "économie collaborative : la nouvelle vague", le mercredi 27/01/2016


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Débat organisé à la maison des métallos, dans le 11e arrondissement à Paris, à l'occasion du premier anniversaire d'AlterEcoPlus, la publication 100% numérique d'Alternatives Economiques.

Débat intitulé : l’ubérisation de l’économie, une menace ?

  • Avec Grégoire Leclercq (président de la fédération des auto-entrepreneurs, cofondateur de l'observatoire de l'Ubérisation)
  • Adam Lévy-Zaubermann (co-fondateur de Costockage.fr)
  • Xavier Timbeau (directeur principal de l'OFCE)
  • Animation : Sandrine Foulon, rédactrice en chef adjointe à Alternatives Economiques.


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Syntec - L’Uberisation des métiers du Syntec : serons-nous tous des ubers demain ?

Lors d'une table ronde le 02/12/2015, le Syntec a abordé la question "L’Uberisation des métiers du Syntec : serons-nous tous des ubers demain ?"

avec la participation de Denis Jacquet,Syntec  co-fondateur de l'Observatoire de l'Uberisation.

Auto-entrepeneurs, atomisation de l’entreprise, fuite des talents, exigence des nouvelles générations, évolution des besoins clients, web 3.0… Opportunité grâce au big bang technologique, disruption des modes de fonctionnement, open innovation, crowfunding, logiques collaboratives… Serons-nous tous des ubers demain ?

Nos professions vivent-elles une mutation ou une simple évolution ? Quid du code du travail et de la protection sociale? Quels impacts sur la pérennité de nos entreprises ? L’ubérisation, une opportunité ?...

Nous, professionnels des métiers du Syntec, ne restons pas insensibles, prenons position ! 


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La recette Uber contre le chômage, titraient Fanny Guinochet et Cyrille Lachèvre, journalistes à l'Opinion, le 20 décembre 2015.

L'article réagit sur un sondage Ifop qui montre que pour 92% des chauffeurs Uber, leur activité contribue à la réduction du chômage.

François Hollande a promis pour le 18 janvier des mesures chocs contre le chômage, jamais aussi haut depuis 1997 (10,6 % de la population active). Le début de l’année 2016 sera marqué par des textes visant à simplifier le Code du travail, mais aussi à relancer l’activité… Un traitement de fond suffisant ? Le débat sur un « pacte républicain » pour l’emploi agite la classe politique et divise les partenaires sociaux. Un sondage mené auprès des chauffeurs d’Uber, dont l’Opinion révèle le contenu, met en valeur les opportunités de l’économie dite collaborative.

Un quart des chauffeurs travaillant pour Uber pointaient au chômage avant de débuter leur activité. C’est ce que révèle le sondage Ifop mené pour la société Uber (1). Parmi ces 25 %, 43 % étaient sans emploi depuis plus d’un an, appartenant à ces chômeurs de longue durée que le gouvernement tente coûte que coûte de ramener vers le travail (près d’un demandeur d'emploi sur deux l’est depuis plus d’un an, soit près de 2,6 millions de personnes sur les 5,5 millions inscrits à Pole emploi).

Pour 92 % des chauffeurs interrogés par l’Ifop, « Uber contribue à la réduction du chômage en France ». Cette réponse, aux allures de plébiscite, n’a rien d’étonnant, quand la compagnie californienne estime que 85 % d’entre eux ont moins de 35 ans. Il n’y a qu’à se rendre dans le 19e arrondissement de Paris, dans le centre de « recrutement » d’Uber, pour voir que les postulants cumulent la plupart des handicaps pour décrocher un job : hommes, jeunes, sans qualification. Et les chômeurs issus de l’immigration ont, en plus, quatre fois moins de chance de décrocher un entretien d’embauche…

Faute d’accéder au sacro-saint CDI, cette population se tourne vers de l’emploi indépendant, et travaille avec ces plateformes numériques qui en échange de les mettre en relation avec des clients via une application smartphone, leur prélève 20 % du prix de leur course. Et des économistes comme Augustin Landier estiment que les plateformes numériques seront un moyen de réduire le déficit d’emplois de services, occupés par des personnes peu qualifiées. Uber, un modèle pour faire reculer le chômage ?

Une forme d’insertion, selon Macron. Au sein du gouvernement, Emmanuel Macron est un des rares à oser admettre que le développement de cette économique dite collaborative peut être une alternative pour ceux qui ont du mal à trouver une place dans le système. « Dans la situation qui est la nôtre, le travail indépendant, l'entreprenariat, c'est une forme d'insertion. Pour beaucoup de jeunes qui n'arrivent pas à avoir un entretien d'embauche, l'entrée dans la vie professionnelle, elle peut et elle doit pouvoir se faire par ce biais », expliquait le ministre de l’Economie devant les artisans le 8 décembre encore.

Plusieurs points de sa loi Noe, qui pourrait être fusionnée avec la loi travail portée par Myriam El Khomri, ont vocation à développer « l’uberisation » de l’économie. Un important volet devrait concerner la formation et les qualifications. De quoi contenter les chauffeurs Uber, dont 55 % disent avoir choisi de travailler avec les applications type Uber « pour acquérir de nouvelles compétences pouvant être utiles dans le futur ». Près de 72 % des sondés estiment que « le fait d’avoir travaillé avec Uber leur a permis de constater une amélioration de leurs compétences professionnelles. »

Système de notation. Le ministre de l’Economie souhaite en finir avec la primauté du diplôme et veut universaliser le système de notation existant pour les chauffeurs d'Uber ou encore les propriétaires d’Airbnb. Ainsi, un jeune passant un entretien d'embauche pourrait faire valoir ces notes comme gage de son expérience mais aussi de son sérieux dans la gestion de la clientèle. « Il y aurait un double bénéfice, a insisté le ministre. Le consommateur pourra accéder à des services à moindre prix et cela créera des opportunités nouvelles pour ceux qui sont loin de l'emploi ».

Pour Grégoire Leclercq, fondateur en octobre de l’Observatoire de l’uberisation, qui a pour vocation d’analyser « cette tendance lourde qui bouscule tous les secteurs de l’économie, puisque des plateformes se créent dans les services juridiques, l’esthétique, la coiffure, l’immobilier, les services aux entreprises, l’hôtellerie, la restauration, la livraison de paquets, etc. », l’impact sur l’emploi est encore difficile à évaluer : « Au début, l’uberisation détruit des postes, mais elle en crée aussi, puisque les consommateurs renouent avec des services dont ils s’étaient détournés. On le voit, il y a des consommateurs qui ne prenaient plus de taxis, car ils estimaient que le service était trop cher, sans qualité, et qui y sont revenus avec Uber. »

Et Grégoire Leclercq d’ajouter : « Ce qui est déroutant pour beaucoup, c’est que si l’uberisation crée de l’activité, du revenu, cela ne crée pas des emplois salariés, ou très à la marge. » De quoi percuter les fondamentaux de notre modèle social français basé sur le salariat. Pour autant, plusieurs études montrent que l’ubersiation ne signe pas la fin du salariat, comme certains l’annoncent.

Boulots low-cost ? Surtout, il crée un vrai dilemme pour les politiques. Quels avantages y a-t-il à encourager ces jobs, qui s’apparentent à des boulots low-cost et précaires ? Qui plus est quand les effets sur l’inversion de la courbe du chômage promettent d’être marginaux ? « En réalité, la vraie question, résume un conseiller ministériel, c’est de s’assurer que ceux qui bossent avec ces plateformes aient une quotité de travail suffisante pour qu’ils sortent de Pôle emploi. Or, actuellement, on en est loin ». D’ailleurs, 75 % des chauffeurs interrogés le reconnaissent, Uber est avant tout un complément de revenus - que ce soient des allocations ou du salaire. Près de 87 % vantent la flexibilité et la liberté que leur offre cette façon d’exercer, tant en termes d’agendas que d’indépendance vis-à-vis d’un patron.

Mais, les mécontentements pointent aussi. En témoigne, la manifestation qui a réuni, vendredi, quelques centaines de chauffeurs de plates-formes VTC aux abords des aéroports de Roissy et d’Orly, réclamant un revenu minimal et un meilleur encadrement de leurs tarifs. En novembre, le premier syndicat, hébergé par l’Unsa avait vu le jour.

En janvier, dans le cadre de son plan de lutte contre le chômage, le gouvernement tentera de mettre un peu d’ordre dans cette activité. L’objectif étant d’encourager cette économie du partage, tout en la régulant, afin de garantir des conditions de travail acceptables, et de faire en sorte qu’elle n’échappe pas au fisc. En octobre, Matignon a demandé au député PS Pascal Terrasse de lui remettre un rapport en début d’année. De son côté, l’Igas a lancé une mission et devrait rendre ses conclusions en février. Au ministère du travail, on réfléchit à la façon de créer des droits pour ces indépendants, notamment via le compte personnel d’activité, ce dispositif dont François Hollande a présenté comme « la grande réforme sociale du quinquennat ».


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  • Date de Publication: 05/01/2016
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L'économie du partage, mise au point par des entreprises comme Airbnb et BlaBlaCar, se met en place en Europe. Cette enquête menée par ING en juillet 2015 auprès de 15 000 consommateurs dans 15 pays révèle l'effet profond que les technologies de partage pourraient avoir sur les économies dans le monde entier, avec une accélération à venir dans les 12 prochains mois.

Environ un tiers des personnes en Europe ont entendu parler de l'économie de partage (52% en Turquie, 17% en Australie et 19% en Autriche). Toutefois, la participation réelle dans l'économie du partage est beaucoup plus faible, ce qui suggère que les gens vont se familiariser avec le concept et passer très prochainement à l'action.

Environ un tiers des personnes en Europe pensent que leur participation à l'économie de partage va augmenter dans les 12 prochains mois. L'économie de partage est connue sous plusieurs autres noms, y compris la consommation collaborative et le peer-to-peer Entreprise.

Dans cette enquête, l'économie du partage est décrite aux participants comme "l'utilisation partagée des biens (tels qu'une voiture, une maison ou une tondeuse) qui serait autrement inactif ou inutilisé".

La montée en puissance du numérique joue un rôle important. Les "partageurs" sont généralement plus jeunes (moins de 35 ans) et sont bien éduqués. Ils ont tendance à être ouverts aux nouvelles technologies de paiement et disent que l'activité économique qui en découle a amélioré leur revenu dans les trois derniers mois.

Airbnb a fait les une des journaux partout dans le monde comme une force perturbatrice du modèle de logement traditionnel. Il est en réalité un modèle parmi de nombreux autres modèles de partage d'une chambre, ce qui pourrait expliquer pourquoi le logement de vacances est le bien que les propriétaires en Europe sont les plus susceptibles de partager dans les 12 derniers mois. En outre, presque la moitié - soit 49% - des propriétaires d'hébergement envisagerait de le partager contre rémunération dans les 12 prochains mois. Les vêtements sont les biens les moins susceptibles d'être partagés. La voiture est l'élément le plus partagé en Europe au cours des 12 derniers mois, mais à l'avenir, les logement de vacances seront encore plus partagés.

L'économie du partage représente encore un petit revenu pour les participants en Europe. La grande majorité des gens en Europe qui a partagé quelque chose qu'ils possèdent a gagné 1.000 € ou moins dans les 12 derniers mois. Les réponses allaient de 1 euro à 50.000 €. La moyenne était de € 2.500. Cependant, le chiffre d'affaires médian est de 300 €.

Le besoin d'économiser de l'argent joue fortement sur la consommation de biens et services dans l'économie du partage à travers L'Europe, les Etats-Unis et l'Australie. Des quatre atouts sur l'économie de partage, le fait d'économisre de l'argent est cité par le plus grand nombre de personnes comme facteur influent. Le fait qu'il soit bon pour l'environnement est également influent, comme le fait que c'est un moyen facile de faire de l'argent supplémentaire. Aider à construire une communauté arrive en quatrième position.

Des trois déclarations négatives sur l'économie du partage, c'est celle qui dit "je n'aime pas le fait que d'autres personnes utilisent mes biens" a le plus haut niveau d'accord dans L'Europe. Les soucis d'assurance sont également répandus, notamment en Espagne. La confiance dans la qualité du bien partagé est une préoccupation moins répandue, mais monte à 50% en Autriche, Pologne, Turquie et aux Etats-Unis.


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Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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