FAQ sur l'Observatoire

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FAQ

Foire aux questions

L'enjeu de l'ubérisation est énorme, pour notre économie, pour nos entreprises, pour le consommateur. La création d’un observatoire constitue une réponse globale qui permet de s’inscrire dans un processus prospectif et dynamique. Il nous semblait urgent de concentrer en un lieu unique le constat, les analyses et- les propositions. 
Nous avons mis en place une méthode de travail, basée sur un calendrier. Nous irons du constat vers les propositions, en axant nos efforts sur l'intéractivité avec tous ceux qui veulent participer. Vous pouvez en savoir plus sur la méthode ici.
Nous ne sommes pas là pour juger du bien fondé de l'ubérisation, mais là pour examiner avec méthode, données, chiffrages, sondages et finesse, de l'ampleur du phénomène qui est indéniable. Il n'est pas de notre mission que de lutter contre l'ubérisation, ou d'encourager l'ubérisation : nous souhaitons seulement l'accompagner.
Nous pensons que l'ubérisation ne peut se résumer à la seule révolution numérique. Bien entendu, elle est un des trois moteurs de l'ubérisation, mais elle ne suffit pas à elle même. L'ubérisation, c'est aussi la soif d'une nouvelle expérience de consommation, et l'envie d'indépendance des intervenants.

Sur l'ubérisation

Non, la disruption cherche la rupture. L'idée est de quitter les approches standard peu créatives pour créer cette rupture afin de permettre à la marque ou au produit de se différencier. La disruption est un des résultats de l'ubérisation.
Il est très difficile de répondre à cette question. En réalité, tous les secteurs des services sont potentiellement la cible d'une ubérisation, car à la merci d'un acteur qui optimiserait les processus via le numérique, créerait un service plus "cool" et moins couteux, et s'appuirait sur un réseau d'indépendants.
Oui, c'est une piste que nous allons évoquer dans notre observatoire. La e-santé par exemple, ou servcies gratuits de big-open-data pourraient à très court terme remttre en cause certains services publics.
L'ubérisation, parce qu'elle s'appuie très souvent sur des réseaux d'indépendants, accompagne l'émergence de nouveaux modes de travail. Par exemple, les chauffeurs d'Uber sont tous auto-entrepreneurs, les restaurateurs à domicile aussi, les freelances sur les plateformes de mise en relation également. La prise en compte de cette montée du travail indépendant doit faire partie de la réécriture du code du travail.

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A PROPOS

Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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