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Une association Belge pour l'excellence

Bbest est une organisation Belge sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir l’Excellence sur le territoire belge.

Organisation composée de près de 200 membres (toutes tailles, tous secteurs), elle est le point de rencontre des entreprises qui cherchent à exceller sur leurs marchés et dans leurs activités.

Bbest est également Partenaire National de l’EFQM (European Foundation for Quality Management) et représente celle-ci en Belgique.

Une conférence musicale, interactive et innovante

Le terme d’agilité a fait son apparition il y a quelques années dans le domaine du management et des ressources humaines. Pourquoi l’agilité favorise t-elle la performance ? Comment la développer dans son organisation ? Quels en sont les impacts sur le pilotage et le management des équipes ?

Pour aborder ces sujets d’actualité, Bbest organise le 19/05/2017 une journée de rencontres, d’exposés, d’échanges d'expériences et de débats à l’intention de professionnels pour qui l’Excellence constitue un moteur et une source d’inspiration.

Cet évènement sera également l’occasion d’acquérir ou de parfaire sa connaissance sur les stratégies et instruments qui permettent d’accroitre l’agilité de votre organisation.

A 15.00, grégoire leclercq viendra exposer sur le thème "UBERISATION : Un ennemi qui vous veut du bien ?"

Grégoire Leclercq est président de la FEDAE, membre du CODIR d'EBP, cofondateur de l'Observatoire de l’Uberisation.

En pratique

 


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  • Date de Publication: 15/05/2017
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Comment les plate-formes de services défient notre modèle social ?

Uber, Deliveroo, Airbnb... Les services issus de l'Internet sont très appréciés pour leur flexibilité mais ils exigent que chacun se transforme en entrepreneur indépendant. Un système difficilement compatible avec la solidarité nationale, basée sur le salariat. Comment évoluer ? 

Avec :

  • Bruno Teboul, philosophe, chercheur en data sciences, et auteur de "Ubérisation = économie déchirée ?" et "Robotariat : critique de l'automatisation de la société"
  • Grégoire Leclercq, cofondateur de l'observatoire de l'Uberisation, auteur de "Ubérisation : un ennemi qui vous veut du bien ?"

Ils sont tous deux membres de l'Observatoire de l'Ubérisation.

Evénement en partenariat avec Rue89 Strasbourg et animé par Pierre France.

Les auteurs dédicaceront leurs ouvrages à la fin de l'événement.

En pratique

  • Entrée libre (dans la limite des places disponibles)
  • https://www.facebook.com/events/617226311802851/ pour s'inscrire
  • Adresse : Le Shadok : Les Dock's 25 Presqu’île André Malraux, 67000 Strasbourg
  • Date et heure : jeudi 18/05 de 19h à 22h
     

 


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Pièces jointes :

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Les 1000 visages de l'Ubérisation

Le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) Montargis-Gâtinais organise une conférence-débat sur le thème "Uberisation et économie participative" au Tivoli le 11 mai 2017 à 18h45.

Ce sujet vous intéresse, vous questionne, vous inquiète ou vous donne des idées ?

Venez comprendre les leviers, les enjeux, les risques ou les opportunités de ce sujet afin de pouvoir anticiper en toute connaissance de cause.

La conférence.qui sera animée par Grégoire Leclercq, cofondateur de l'observatoire de l'ubérisation

Elle sera suivie d'une table ronde en présence de chefs d'entreprises (BTP, Déménagement, Taxi, ..) et de personnalités politiques locales (Président du Conseil Régional, Député-Maire, ..)

Les échanges se poursuivront lors du cocktail dînatoire (35 €)

Pour plus de détails :

  • https://www.facebook.com/cjd.montargis/
  • http://montargis-gatinais.cjd.net/
  • par teléphone : 06 20 35 86 05

La conférence-débat est gratuite mais nécessite une inscription.

Le nombre de  places est limité, ne tarder pas à vous inscrire sur https://www.weezevent.com/uberisation


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La Maison de l’Economie Développement (MED) est l’un des vecteurs de la compétitivité du Grand Genève. Agence de développement économique du Genevois Haut-Savoyard et des Usses et Bornes, la MED est un catalyseur entre la sphère publique, chargée de répondre aux enjeux d’un territoire en mutation et le monde de l’entreprise, moteur de la croissance.

Créée il y a 25 ans, la MED est une société d’économie mixte au capital de 214 500 €.

Les Midis des l’Economie

Les Midis des l’Economie, des rencontres dédiées à l’échange sur des projets et actions transversales avec l’ensemble des acteurs socioéconomiques du territoire.

La MED en partenariat avec les agences des développements économiques du Genevois Français et l’ARC organise les Midis de l’Economie. Un rendez-vous trimestriel ouvert à tous les acteurs socio-économiques du Grand Genève (dirigeants d’entreprises, élus, citoyens).

La rencontre du vendredi 4 mai traitera du thème : « Ubérisation, un ennemi qui vous veut du bien »

L’Ubérisation excite toutes les peurs, les fantasmes, les espoirs. Les jeunes entrepreneurs y voient un espoir de trouver leur place. Les grands groupes se demandent comment transformer leur façon de toucher leur public, attirer des talents et les fidéliser à l’heure où le numérique leur fait perdre leur attrait.
Les politiques sont totalement perdus et dépassés par le phénomène. Et le grand public se demande ce qui se passe vraiment.
Pour en savoir plus, faire le point sur ce qu’est l’Ubérisation, son impact dans la société, ses opportunités et ses limites, rejoignez-nous, le 4 mai à 12h au centre de convention d’Archamps.

Grégoire leclercq interviendra pour présenter l'ouvrage et évoquer les grands enjeux de société qui se font jour derrière ce vocable d'ubérisation.

En pratique

  • Archamps Technopole, Rue Ada Byron, Archamps, France
  • Buffet à 15 € TTC par personne
  • En cas d'annulation, veuillez consulter la MED (04 50 87 52 42)
  • Pour toutes annulations, vous serez remboursé de 14,25 €,
  • Date de clôture des réservations : 02/05/17
  • INSCRIPTION ICI

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"Pourquoi ne pas avoir peur de la digitalisation !"

A l'occasion de l'Assemblée Générale de French Tech in the Alps - Digital savoie, Grégoire Leclercq, cofondateur de l'Observatoire de l'Ubérisation, animera la conférence "Pourquoi ne pas avoir peur de la digitalisation !"

French Tech in the Alps - l'alliance du sillon alpin

French Tech in the Alps fédère les agglomérations et l'ensemble du sillon alpin autour de la dynamique French Tech, ce qui en fait un des principaux territoires numériques en France et en Europe.

  • Fédérer :  Permettre aux startups d’accéder aux ressources dont elles ont besoin à proximité. 
  • Accélérer : fournir des outils qui favorisent l’émergence de startups à fort potentiel de croissance et les propulser au rang de Tech-Champions. 
  • Rayonner : accroître la visibilité du sillon alpin au niveau national et international. 

LA MARQUE apporte une cohérence et une harmonie entre les 4 membres de l’alliance. C’est le gage d’une efficacité de nos actions, d’une mise à l’échelle de nos moyens et de nos ambitions au service de l’ambition French Tech.

L’ALLIANCE couvre 5 réseaux thématiques French Tech (qui en compte 9) : Technologies Médicales, Internet des Object, Industries culturelles et créatives, Energie numérique, et technologies pour le sport (#HealthTech, #IoT et #Manufacturing, #EdTech et #Entertainment, #CleanTech et #Mobility, #Sports).

Une conférence sur Ubérisation / Economie de Plateforme

Grégoire Leclercq est co-auteur du livre "Ubérisation, un ennemi qui vous veut du bien ?", entrepreneur, président de la Fédération des auto-entrepreneurs, co-fondateur avec Denis Jacquet de l'Observatoire de l'Ubérisation.

RDV mercredi 19 avril, à Savoie Technolac, bâtiment Horloge. Début de la soirée à 18h !


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Davanti a fenomeni nuovi, che investono radicalmente l'economia e disgregano il sociale servono forze e forme altrettanto nuove di intermediazione. In Francia, un gruppo di ricercatori e startupper indipendenti si è mosso dando vita all'Observatoire sur l'uberisation. E il 18 ottobre lancia l'appello per gli "Stati Generali" dell'uberizzazione.

Nato dal nome di una società di trasporto atipico - la Uber, azienda fondata nel 2009 a San Francisco che propone servizi di trasporto alternativi ai taxi - il neologismo "uberizzazione" è oramai entrato nell'uso comune, ma che cosa comporti sul piano economico e, soprattutto, su quello sociale è ancora poco chiaro. Anche perché, il fenomeno di cui Uber è al tempo stesso conseguenza e causa va ben al di là del settore dei trasporti cittadini.

Con uno smartphone e i servizi di geolocalizzazione integrata, tutti possono competere con tutti e, almeno per ora in linea teorica, accettare da tutti "lavori a chiamata". Tassisti, ma anche baby sitter, idraulici e persino medici. Un servizio? O una vera e propria dinamica finanziaria che rischia di travolgere e portare via con la piena, al netto delle rendite di posizione, interi settori della nostra economia?

Uberizzazione

L'uberizzazione nasce all'incrocio fra economia della condivisione e innovazione tecnologica, toccando tanto la ricerca di una maggiore competitività delle imprese quanto - e questo è il lato spesso lasciato nell'ombra - il desiderio di libertà e indipendenza di moltissimi cittadini-consumatori. Si tratta di un fenomeno che, partito da un micro segmento delle nostre economie (i trasporti), sta impattando con conseguenze davvero radicali su tutto il settore dell'offerta di beni e servizi. Talvolta, uberizzazione è usato come sinonimo di "disruption", distruzione.

Il neologismo "uberizzazione" indica almeno due fenomeni legati con il processo di progressiva finanziarizzazione dell'economia quotidiana. Da un lato, "uberizzazione" significa conversione di servizi e prestazioni lavorative continuative, tipiche dell’economia tradizionale in attività che invece vengono svolte solo su richiesta, a cottimo come si diceva un tempo. Dall'altro, indica un modello di business improntato a quella che il gergo aziendale chiama gig economy.

Gig economy

Ma che cos'è la gig economy? È un modello dove le prestazioni lavorative stabili sono azzerate e, di conseguenza, gli impiegati e i dipendenti a tempo indeterminato praticamente non esistono, poiché l'offerta di prodotti o servizi avviene solo "on demand", quando c'è richiesta.

Grazie alle nuove tecnologie, sia sul piano della fornitura di beni e servizi sia su quello del settore manifatturiero, questo modello è diventato estremamente pervasivo. Con ricadute qualitative immediate, ma non sempre quantificatificabili.

Settori uberizzati

Tra i settori oggi fortemente "uberizzati" ci sono i taxi, le librerie, gli hotel (dove oramai si sta affermando il modello-cassaforte robotizzato, senza portiere o personale: tutto automatizzato, dalla prenotazione al check-out), le banche, le professioni giuridiche e la ristorazione. Oggi, a frenare l'uberizzazione sono ostacoli - "sfide" preferiscono chiamarle i guru dell'uber for all - di natura fiscale, sindacale e territoriale. Puntelli che, dinanzi alla digitalizzazione sempre più integrale, rischiano di essere considerate - e talvolta lo sono davvero - come "inutili rivendicazioni" o "rendite di posizione" fuori dal tempo.

Guidare i processi in corso o farsi trascinare

Capire i processi è necessario per accompagnarli e rinnovare i diritti sociali e del lavoro. Ne sono convinti Grégoire Leclercq​, di professione imprenditore, e i numerosi colleghi con cui ha fondato l'Observatoire de l’ubérisation. A metà tra il centro studi e il meet-up, indipendente, composto da ricercatori sociali, startupper e da addetti di quello che un tempo si sarebbe chiamato "terziario avanzato", l'Osservatorio fa i conti con la modernità e con le spinte - digitalizzazione, valorizzazione dell'esperienza dell'utente, indipendenza" - che ad oggi sembrano indicare nell'uberizzazione un fenomeno che sul medio lungo periodo risulterà vincente.

Scopi dell'Osservatorio, spiega Leclercq, sono; praticare ricerca e innovazione sul tema del finanziamento del sistema sociale, riattivare il dialogo sociale con nuovi intermediari, studiare nuove regole fiscali per il lavoro e mettersi in campo per una proposta di riforma del diritto del lavoro.

L'uberizzazione si mescola con altri fenomeni: la disruption, ovvero la fine di interi settori lavorativi in seguito al passaggio al digitale, e la sharing economy. Fenomeni non sempre, di per sé, negativi, ma- afferma Leclerq - "proprio per questo da studiare. Siamo dentro un processo e dobbiamo capire come non affondare. Si tratta di un fenomeno complesso e dalle molte facce, dobbiamo capire questa complessità e affrontarla per quello che è, ma con urgenza".

Stati Generali dell'uberizzazione:18 ottobre

Proprio per questo, il 18 ottobre prossimo, l'Osservatorio lancia "Les Asise de l'Ubérisation", un incontro modello "Stati Generali" per "riunire economisti, decisori, imprenditori, grandi aziende, parlamentari, donne e uomini impegnati in poltiica, sindacalisti, giornalisti e far discutere sulla rivoluzione digitale, sociale e economica in corso". Alla domanda più specifica sul "cosa" si discuterà, Leclercq spiega che si discuterà di "adattamento": "come possiamo adattarci a questi mutamenti? Dobbiamo accettarli così come sono, tentare di governarli o combatterli punto e basta? Quali nuove forme di lavoro dovremmo favorire? Queli invece dovremmo preservare dall'uberizzazione? Domande per ora senza risposta che è comunque importante porsi e porsi con urgenza"


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  • Date de Publication: 06/04/2017
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Selon l’Observatoire de l’ubérisation les secteurs les plus ubérisés sont, par ordre décroissant

  • À 70 % : les taxis, la location, l’éducation et les services à la personne. Exemple : la société… Uber, dont les voitures de tourisme avec chauffeur concurrencent les taxis
  • À 60 % : les librairies. Exemple : Amazon, qui propose aux auteurs de publier leur œuvre sous forme électronique
  • À 50 % : les hôtels. Exemple : Airbnb qui propose des lits chez les particuliers
  • À 40 % : les experts-comptables et les banques. Exemple : les plates-formes de crowdfunding qui se passent du système bancaire
  • À 30 % : les avocats, les restaurateurs, la santé, les services publics, le stockage, la logistique, la mode, le marketing, le conseil fi nancier. Exemple : WeClaim qui propose de régler certains litiges en ligne. Ou encore VizEat, qui propose d’aller déjeuner ou dîner chez l’habitant
  • À 20 % : le bâtiment. Exemple : Hellocasa qui propose des travaux de bricolage à la demande

Ces chiffres (qui seront réactualisés en septembre prochain), sont le croisement de trois indicateurs, comme l’explique Grégoire Leclercq, le président de l’Observatoire : l’appétence des consommateurs pour les services ubérisés, le nombre de start-up présentes dans ces secteurs, et les parts de marché dont elles se sont emparées.

Création/destruction

« On compte environ 180 plates-formes ubé- risées en France, pour un chiffre d’affaires de l’ordre du milliard d’euros, avec un taux de croissance de 35 % par an et une multiplication par vingt en dix ans, précise Grégoire Leclercq. Elles emploient 14 000 personnes, auxquelles s’ajoutent 200 000 auto-entrepreneurs travaillant pour elles. » Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Observatoire a été fondé par la Fédération des auto-entrepreneurs (présidée par G. Leclercq), en partenariat avec l’association Parrainer la Croissance. « Une enquête montre qu’un quart des auto-entrepreneurs augmentent leur chiffre d’affaires d’au moins 40 % en travaillant avec une plate-forme de services aux particuliers ou aux entreprises », souligne le président de l’Observatoire. Mais loin de verser dans un angélisme béat, celui-ci souligne au contraire l’ambivalence de l’ubérisation. « D’un côté elle est créatrice de valeur, elle rend des services appréciés par les consommateurs, et elle est aussi un formidable vecteur de promotion sociale. Ainsi, 70 % des chauffeurs VTC d’Uber sont issus des quartiers sensibles. Mais d’un autre côté, l’ubérisation sape tous les acquis obtenus depuis 1936. C’est un bouleversement de la protection sociale et du droit du travail, une remise en cause de nombreux métiers. C’est pourquoi également on ne peut pas avoir un discours tout fait sur l’ubérisation. » L’Observatoire a précisément pour vocation de dépassionner le débat, « en faisant de la pédagogie et des propositions »

Frédéric Marais


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  • Date de Publication: 04/04/2017
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CRÉATIV’ CROSS-MÉDIA est un salon qui réunit toutes les solutions et applications pour aider les entreprises à transposer leurs contenus sur différents médias. Il rassemble dans un même lieu tous les acteurs de la communication (agences, marques, éditeurs de presse, éditeurs de livres, prestataires print et web, collectivités, institutionnels, distributeurs, acteurs du packaging), quel que soit le support (print et digital), pour leur permettre de se rencontrer et d’échanger autour des problématiques liées à une communication multicanale.

2 JOURS, 3 VILLAGES, 90 EXPOSANTS, 1700 VISITEURS, 30 ATELIERS, 25 CONFÉRENCES

UBÉRISATION DE L’ÉDITION

C'est sur ce thème que nos membres vont débattre : "L’AUTO-ÉDITION, VÉRITABLE PROCESSUS D’UBÉRISATION DE L’ÉDITION ?"

29 mars 2017 de 16:45 - 17:45

Conférence animée par Jean-Pierre GÉRAULT de la société Publishroom

INTERVENANT(S)

  • Julien MECHIN - CREADS, membre de l'OBSERVATOIRE DE L’UBÉRISATION
  • Denis JACQUET - OBSERVATOIRE DE L’UBÉRISATION

Dans un marché de l’édition confronté à ses contradictions face au numérique, l’auto-édition est un phénomène de démocratisation et de transparence qui remet l’auteur au centre de la chaine de valeur du livre. Un parallèle intéressant, la communauté des créatifs professionnels et le design participatif.


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  • Date de Publication: 27/03/2017
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L'AFNOR organise dans son siège de Saint-Denis une rencontre le Jeudi 23 mars 2017 de 14h15 à17h30 sur le thème : "Économie collaborative : en quête de références partagées"

La rencontre est animée par Stéphane JOCK, Vice-Président du Comité Stratégique AFNOR « Biens de consommation, sports et loisirs »

Programme

  • 14h00 Accueil
  • 14h15 Introduction Sophie HUBERSON, SNELAC, Présidente du Comité Stratégique AFNOR « Biens de consommation, sports et loisirs »
  • 14h25 Présentation de l’étude prospective « Enjeux et perspectives de la consommation collaborative » : mieux connaître la réalité actuelle des marchés de la consommation collaborative et de leurs acteurs
    • Alice METAYER-MATHIEU, Adjointe au chef de bureau de l’information économique et de la prospective, DGE
    • Jean-Paul PLATTIER, Chargé de mission auprès de la Sous-directrice du droit des entreprises, DGE
  • 14h45 TABLE RONDE : Economie traditionnelle et transition vers l’économie du partage, passerelles et synergies, nouveaux entrants … des entreprises témoignent sur les potentiels de croissance et d’avenir et les conditions de sécurité, de qualité, de fiabilité dans un environnement national et international très compétitif
    • Frédérique VILLE, Directrice Générale d’IDVROOM
    • Charles-Edouard VINCENT, Directeur Général de LULU DANS MA RUE
    • Allan BALLESTER, Responsable du programme DECATHLIVES de DECATHLON
    • François-Xavier HUARD, Directeur du service Compétitivité des entreprises de l’APCMA
    • Grégoire LECLERCQ, co-fondateur de l’Observatoire de l’ubérisation
  • 15h45 ATELIERS : Quelles conditions pour une économie collaborative à armes égales ? Réfexion en groupes autour de trois thèmes :
    • Sécurité pour les consommateurs
    • Qualité des prestations et services
    • Fiabilité, pérennité, continuité du service
  • 16h45 REGARDS CROISES :
    • Point de vue d’une association de consommateurs sur l’économie du partage Jean-Louis BLANC, Secrétaire général de l’ADEIC
    • L’économie collaborative : une opportunité pour l’Europe Claudia MARTINEZ FELIX, Juriste à la Commission européenne (DG Croissance)
  • 17h20 Conclusion par Olivier Peyrat, Directeur Général du Groupe AFNOR 

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A PROPOS

Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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