Impacts de l'ubérisation

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Apparu en 2014, le terme a depuis été utilisé à toutes les sauces pour parler de la nouvelle économie. Mais de quoi parle-t-on au juste ? Et ces nouvelles partiques, portées par les Uber, Airbnb et autres Drivy, engendrent-elles de la croissance pour les pays concernés ou sont-elles, au contraire, un danger pour les entreprises classiques ? « Dessine-moi l’éco » s’est penché sur le sujet, en partenarait avec le Monde.


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  • Date de Publication: 03/12/2015
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Difficile d’échapper ces derniers mois à « la folie de l’ubérisation ». Pas un jour ne se passe, en effet, sans que cette thématique ne soit abordée dans les médias, qu’ils soient professionnels ou grand-publics. Et pourtant ce mot d’ubérisation a moins d’un an !

Depuis, ce terme a tendance à être utilisé à toutes les sauces et le moindre acteur innovant est immédiatement présenté comme le futur ubérisateur de la profession dans laquelle il intervient (ubérisateur devant ici être entendu comme un synonyme très proche de fossoyeur). In fine, l’effet anxiogène est garanti pour les acteurs historiques des secteurs d’activité concernés. Difficile, en effet, de se protéger d’une menace que l’on peine à qualifier….

Cette étude menée le par le Think Tank "Les Moulins" est née de la volonté des membres du comité de pilotage d’y voir plus clair sur ce concept d’ubérisation et sur les menaces réelles ou supposées qu’il représente pour la profession comptable.

L’objectif est :

  • de fournir une grille d’analyse rigoureuse permettant de catégoriser les différentes sortes d’innovateurs qui gravitent dans et autour de la profession. Sont-ils tous des ubérisateurs en puissance ? Sont-ils tous des menaces pour la profession ? Comment s’en protéger, voire même s’en inspirer ? Etc. Les innovateurs de rupture, que nous avons regroupés sous le terme de « barbares » dans le cadre de cette étude sont en effet loin d’être une population homogène. Les catégoriser a été notre première ambition.
  • d’aider le lecteur à prendre la mesure des menaces et opportunités que ces différents types de barbares font naître dans la profession. Car si la face obscure des barbares est bien souvent mise en avant, il ne faut pas oublier que les barbares ont également des aspects extrêmement positifs trop souvent ignorés.

Afin de compléter nos analyses des évolutions en cours au sein de la profession comptable, l'enquête a été réalisée auprès des professionnels du secteur. Celle-ci a permis de « prendre le pouls » du terrain sur ces phénomènes de barbarisation, d’ubérisation, d’automatisation… Les principaux résultats de cette enquête réalisée au cours de l’été 2015 sont présentés dans le cadre de cette étude.

L'étude est trés complète et aborde, pour la première fois, la différenciation entre les "barbares" : différenciateur, lowcoster, automatisateur, uberisateur, neodistributeur et connecteur

Tous les secteurs de l’économie sont impactés par les barbares et, ce, dans le monde entier. Comment imaginer que la profession comptable française fasse exception ? La profession va, dans des délais très courts, traverser une période de turbulences fortes liée à l’arrivée de nouvelles solutions technologiques.

Au-delà des mots, l’impact le plus probable sur la profession n’est pas celui de l’ubérisation (se faire remplacer par des acteurs extérieurs à la profession), peu probable en pratique, mais celui de l’automatisation (remplacer du temps homme par du temps machine).

C’est fondamentalement différent et de meilleur présage pour les experts-comptables. En effet, l’automatisation libère les cabinets de tâches sans valeur ajoutée et leur permet de se consacrer à des activités plus créatrices de valeur, plus fidélisantes, plus rémunératrices.


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  • date : mercredi 25 novembre 2015 à 19:00
  • organisateurs : HEC Montréal Europe Alumni, Club Digital & Technologie Neoma Alumni
  • lieu : NEOMA Business School, 9 Rue d'Athènes, 75009 Paris

Symbole emblématique de la disruption, Uber, comme d'autres entreprises telles que Netflix, Airbnb ou Amazon, profitent à plein de la numérisation de la société pour créer de la valeur en court-circuitant les entreprises et secteurs établis. Ces nouvelles organisations exploitent l’effet réseau et le coût marginal zéro. Au-delà de l’aspect organisationnel mis en place par ces entreprises, nous assistons à un véritable changement de paradigme à la fois dans les organisations, mais aussi une remise en question progressive des modèles de société tels que nous les connaissons. Comment s’adapter ? Comment négocier ce virage ? Quels sont les avenirs possibles pour notre société ?

Avec Anne-Sophie Frenove, Directrice Marketing Airbnb et Fabrice Frossard, journaliste, formateur, conférencier au sein de l'équipe de Culture&Sens et consultant en organisation digitale.

 


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  • Date de Publication: 02/12/2015
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  • Date de Publication: 09/11/2015
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Les plateformes de type Uber seraient une menace pour un nombre croissant de professions. L’uberisation favoriserait immanquablement la concurrence par les prix, la disparation des acteurs historiques, la destruction d’emplois. Bref, ce mouvement serait en quelque sorte subi, voir une menace. Ce n’est pas toujours le cas. Car il renferme aussi un certain nombre d’opportunités pour les acteurs en place.

Prenons l’exemple des métiers du droit avec les « LegalTech » : Testamento.fr, DemanderJustice.com, Captain Contrat ou LegalStart.fr. Ces start-up du droit en ligne ont fait le choix d’un positionnement qui prend à contre-pied les pratiques des acteurs traditionnels. Pour être clair, elles font le pari d’une démocratisation des procédures judiciaires et administratives pour les particuliers et les petites entreprises. S’appuyant sur des offres 100% numériques grâce aux technologies digitales de dématérialisation et d’automatisation, ces nouveaux venus mettent très clairement en avant  l’argument prix tout en jouant la carte de la transparence sur la question des tarifs. Les LegalTech misent aussi sur d’autres propositions de valeur différenciantes comme la simplicité d’utilisation, l’accessibilité, la disponibilité, la sécurité.

Soit dit en passant, ces acteurs ne sont pas tout à fait des exemples d’uberisation. Ce sont plutôt des exemples de digitalisation d’offres traditionnelles. Car je vous rappelle que l’uberisation fait référence à la plateforme californienne de voitures avec chauffeurs Uber qui consiste  à fédérer à très grande échelle d’un côté des individus non salariés, et de l’autre des clients qui peuvent par la suite évaluer le service.

Aujourd’hui, certaines LegalTech sollicitent les avocats pour qu’ils se fassent référencer sur des plateformes en ligne de mise en relation, c’est-à-dire finalement « uberiser ». Dans ce cas, c’est sans conteste une source intéressante de revenus complémentaires pour les cabinets de petite taille et les jeunes avocats en quête d’audience et de visibilité.

Mieux : les LegalTech les poussent à réagir, à innover et à se moderniser.
• Le Barreau de Paris a ainsi créé un incubateur en 2014.
• Le Conseil national des Barreaux a pour sa part lancé une plateforme de référencement.
• Les plateformes-robots dont nous avons parlé incitent aussi les cabinets à automatiser une partie des actes juridiques de leurs propres clients pour concentrer leurs efforts sur des services à plus forte ajoutée, source potentielle de gains de productivité.
• Ces plateformes pourraient enfin servir d’exemple à certains cabinets d’avocats pour mettre en place des offres low-cost pour les procédures les plus basiques comme cela se fait dans l’expertise-comptable.

Mais arrêtons d’opposer systématiquement l’ancien et le nouveau monde. Il appartient maintenant aux acteurs traditionnels de construire des alliances stratégiques avec les LegalTechs qui prendraient la forme d’écosystèmes d’innovation, un peu à l’image de ce qui se fait actuellement entre les banques et les start-up de la finance.  Le jeu doit être gagnant-gagnant entre d’un côté ces nouveaux venus qui apportent agilité, créativité, réactivité, capacité à prendre des risques, et de l’autre des acteurs traditionnels forts notamment de leur légitimité.

Vous l’aurez compris. Les métiers du droit sont d’abord menacés par la digitalisation des procédures les plus simples. Ils seront même peut-être à l’avenir menacés d’uberisation si leur métier est davantage libéralisé. Mais une chose est sûre : ces nouveaux modèles portés par les LegalTech représentent pour les cabinets traditionnels une opportunité exceptionnelle de régénérer leur modèle d’affaires.

 


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Soirée du think tank Les Moulins : "La profession comptable va-t-elle se faire ubériser ?"

Les Moulins, le think tank de la profession comptable, organisent leur deuxième soirée de réflexion autour du thème : "Les barbares sont à nos portes... la profession va-t-elle se faire ubériser ?". 
Cette soirée a lieu lundi 16 Novembre 2015, à 18h00, Salle Montespan - 177 Avenue Victor Hugo – 75016 Paris

Les personnes présentes analyseront les forces économiques et technologiques à l'oeuvre et réfléchiront aux solutions qui permettront aux cabinets d'expertise comptable de s'adapter à ce nouveau paradigme.
Au programme :
- Frédéric Fréry, professeur à l’ESCP, Expert en stratégie, en organisation et en management de l’innovation. Frédéric Fréry nous livrera sa vision de la transition numérique en cours et de ses impacts sur les entreprises et les organisations.
- Vincent Panier, agent immobilier dans la « vraie vie » devenu un barbare en fondant le site base10, une plateforme qui permet aux entreprises de mettre à disposition certains espaces professionnels non utilisés. Il viendra nous faire partager son expérience : pourquoi il a créé base10 ? comment il a fait ? où en est-il ?
- Jeremy Oinino, fondateur du site demanderjustice.com. Créateur d’un site Internet permettant de saisir la justice via Internet (et à moindre coût), Jeremy Oinino a reçu un accueil plus que mitigé de la part des avocats et des instances de la profession. 


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  • Date de Publication: 26/10/2015
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Rémy Oudghiri est sociologue et membre du comité de pilotage de l'Observatoire de l'Ubérisation. Directeur Général Adjoint de Sociovision après un passage chez IPSOS, diplômé d'HEC et de Sciences-Po Paris, titulaire d'un DEA de sociologie, il a tout d'abord effectué plusieurs années de recherche en sciences sociales à Paris et à l'université de Stanford aux États- Unis. Chargé de cours à HEC et à Neoma Business School (Reims), il est l'auteur de plusieurs ouvrages et de nombreux articles parus notamment dans la presse professionnelle. Il donne régulièrement des conférences en France et à l'étranger sur l'évolution de la société et les mutations des modes de consommation. Il a publié cet article dans le numéro d'octobre 2015 de la revue Perspectives Entrepreneurs (n° 754). Il revient sur l'ubérisation de l'économie française et la réaction des Français.

« Ubérisation » : depuis que Maurice Levy l’a utilisé au cours d’un entretien à la presse en décembre 2014, ce mot s’est répandu comme une traînée de poudre. Devenu entretemps un concept, chacun y fait désormais référence, mais il n’est pas sûr que tous entendent la même chose. Si l’on veut y voir plus clair, il faut donc commencer par définir ce qu’il recouvre. L'analyse qui suit repose sur les données collectées par l'Observatoire des Français de Sociovision. Chaque année depuis 1975, l'Observatoire interroge un échantillon représentatif de 2000 Français âgés de 15 à 75 ans sur de très nombreux sujets : valeurs, travail, modes de vie et de consommation, etc.

Au-delà d’Uber, une nouvelle révolution

D’une manière générale, l’  « ubérisation » désigne des mutations profondes qui sont aujourd’hui à l’œuvre dans la société française. Ces mutations traduisent trois dynamiques principales. Chacune d’entre elles contribue à remettre en cause les cadres traditionnels de l’économie et de la gestion des entreprises.

Vers une généralisation du numérique. La digitalisation croissante des usages fait bouger les lignes traditionnelles. Les administrations et les entreprises se transforment en intégrant le numérique aussi bien dans leurs offres que dans leur mode de fonctionnement interne. Ceci crée des transferts de compétence et oblige à repenser de fond en comble les organisations.
Vers de nouveaux acteurs de la consommation. C’est le fait le plus marquant des dix dernières années : les consommateurs ont aujourd’hui la possibilité de contourner les acteurs traditionnels avec une facilité de plus en plus déconcertante. Il leur suffit de prendre contact les uns avec les autres sur des plateformes dites « collaboratives » pour vendre, acheter, louer, échanger, créer, financer, etc. Des sociétés comme Airbnb, KissKissBankBank ou Blablacar ont fait de ces pratiques le moteur de leur succès.
Vers de nouvelles valeurs. Un énorme besoin de « respirer » se fait sentir dans la société française. 62% des Français interrogés par l’Observatoire de Sociovision disent ainsi aspirer à « une société très différente, avec plus d'ouverture, de libertés, de possibilités d'entreprendre ». Un nouvel état d’esprit se propage dans des milieux sociaux très différents qui plébiscitent les valeurs de débrouille, d’assouplissement des contraintes et le besoin d’accomplissement individuel.  

Triomphe du consommateur, défaite du salarié

En 2015, la population a pris conscience des effets négatifs de ces évolutions sur le marché du travail. Le conflit entre les chauffeurs de taxi et l’Américain Uber a révélé que des pans entiers de l’économie étaient vulnérables. Le succès des nouvelles pratiques ont en effet atteint une telle ampleur chez les consommateurs qu’elles menacent directement les acteurs traditionnels. La mobilisation des chauffeurs de taxi contre l’application Uber Pop a mis le doigt sur ce qui jusque-là était resté dans les coulisses : certes, de nouveaux emplois se créent grâce aux nouvelles plateformes, mais d’autres emplois sont susceptibles de disparaître simultanément. Et il est à craindre, comme le souligna Robert Reich dans une tribune fracassante parue aux Etats-Unis en février 2015, que les nouveaux emplois créés soient précaires et mal payés. De nombreux secteurs sentent déjà les premières secousses de l’ubérisation : les hôtels, les transports ou la banque.

Si elle traduit bien le triomphe du consommateur, l’ubérisation semble ainsi annoncer la défaite à venir du salarié. Car si ces tendances continuent à se développer, de nombreux salariés risquent d’y perdre des plumes.

La population française est partagée

Que pensent aujourd’hui les Français de ces évolutions ? En tant que consommateurs, les Français sont positifs car ils voient tous les avantages qu’ils en retirent : économie, souplesse, bonnes affaires. Même l’argument écologique, s’il n’est pas une motivation centrale, les conforte dans leur engouement. Les achats d’occasion ne se sont jamais aussi bien portés qu’aujourd’hui. Et depuis le retournement de conjoncture de 2008, les Français sont devenus extrêmement friands des formules qui leur permettent de faire des économies. Parmi ces solutions, les pratiques collaboratives suscitent un intérêt croissant. Et elles ne sont pas prêtes de retomber si l’on en croit tous ceux qui, ne les ayant pas encore utilisées, expriment le souhait de le faire prochainement. Le nombre de ces derniers augmente chaque année…

En tant que salariés, les Français sont fragilisés. Depuis l’arrivée d’Internet, les actifs ont bien compris l’intérêt que les nouvelles technologies introduisent dans leur travail quotidien : rapidité, efficacité, meilleure organisation collective... C’est pourquoi une majorité aujourd’hui les plébiscite. Mais environ un tiers pensent que cela va trop vite et craignent d’être « dépassés ». De plus en plus redoutent d’être mis sur la touche dans les années à venir. Si le CDI pour l’instant les protège, ils anticipent un monde où ce statut sera de moins en moins proposé. L’histoire est peut-être en train de leur donner raison. Depuis plusieurs années, les contrats précaires se développent.

La France reste partagée sur ces questions. Quand on les interroge directement, 53% des Français âgés de 15 à 75 ans jugent que ces nouvelles pratiques sont positives car elles « permettent à des personnes d’avoir des ressources complémentaires », mais 47% pensent qu’elles créent une concurrence et mettent en danger des emplois traditionnels. » (source : Sociovision) Une ligne de partage qui divise la France en deux. Par ailleurs, les Français pensent qu’à plus ou moins brève échéance, des professionnels vont récupérer massivement ces pratiques, ce qui leur fera perdre l’essentiel de leur intérêt pour le consommateur.

Quid du futur ?

Pour les Français interrogés par Sociovision, il apparaît évident que le monde de demain va accentuer ces évolutions. Beaucoup pensent qu’il faudra se former en permanence pour rester dans le coup. Ils pensent également qu’il y aura de plus en plus de gens qui se mettront à leur compte ou créeront leur propre entreprise. Enfin, être et agir sur un réseau social professionnel deviendra un must pour s’organiser, trouver un emploi, faire carrière ou, simplement, trouver des solutions à des problèmes de la vie concrète.

Une opportunité pour les petites structures

« Small is beautiful » : ce slogan du début des années 1970 n’a jamais été autant d’actualité. L’avantage d’une petite structure, dans un environnement de plus en plus incertain, c’est sa capacité à réagir rapidement. Se réorienter lui coûte a priori moins qu’une grande organisation. Souplesse et anticipation seront de plus en plus des armes pour affronter la conjoncture. Dans le monde de l’ubérisation, ceux qui les porteront seront plus à même de se développer.

Un enjeu d’accompagnement

Les responsables politiques sont face à un défi majeur et qu’on pourrait résumer de la façon suivante : comment faire en sorte que la transition économique et sociale soit la moins douloureuse possible pour les salariés et pour les organisations, et qu’elle demeure la plus bénéfique possible aux consommateurs ? Équation impossible ? Cela oblige à revoir les statuts actuels et agir dans les deux mondes : assouplir les règles du monde économique traditionnel pour lui permettre de rester viable ; encadrer le monde économique qui émerge pour ne pas fausser les règles du jeu.


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  • Date de Publication: 26/10/2015
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Precepta Stratégiques a reçu Frédéric Fréry, professeur à ESCP Europe, pour parler de la notion d'uberisation et de ce qu'elle recouvre en terme de stratégie. 

Le salariat est-il mort ? Une économie d’autoentrepreneur va-t-elle lui succéder ?

La notion d’uberisation qui synthétise un modèle où particuliers/indépendants réalisent des prestations parfois à des tarifs très inférieurs aux acteurs traditionnels.

Les entreprises établies sont donc concurrencées par des individus, regroupés par plateformes. On passe du monde entreprise au mode « projet », ce qui permet une meilleure flexibilité.

Or, même si les salariés sont qualifiés, ils ne sont pas toujours qualifiés pour réaliser toutes les taches. Le marché est devenu moins coûteux que l’entreprise : cette vague de fond semble irrésistible.

Posez-vous la question : que ferais-je quand mon métier sera ubérisé ?


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A PROPOS

Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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