Sécurité

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  • Date de Publication: 02/06/2017
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Grégoire Leclercq était l'invité de RTS le 18 mai 2017, pour évoquer l'Observatoire de l'Ubérisation. Au programme, l'ampleur du phénomène de l'ubérisation, ses enjeux de société, la protection de l'indépendant qui travaille en lien avec ces plateformes...


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  • Date de Publication: 29/05/2017
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À la traîne en 2016, les grandes villes ont rattrapé leur retard en matière de consommation collaborative. C’est ce que révèle l’Indice urbain du partage de 2017, réalisé par le cabinet d’études économiques et de conseil Asterès. Indice qui pourrait tout aisni bien s'appeler Baromètre de l'Economie Collaborative.

5 catégories sont mesurées

En tête de l'indice urbain du partage, on retrouve Bordeaux pour la deuxième année. Le développement de cette économie du partage dans les agglomérations françaises a été mesuré par l’équipe du cabinet d'études économiques Asterès : les statistiques des principales plateformes d'échange entre particuliers sont désormais connues dans les 30 premières villes de France. 
  
Le classement obtenu est la synthèse de cinq catégories :

  • la vente de biens entre particuliers
  • les services entre particuliers
  • le partage de logement
  • le covoiturage
  • la location d’objets entre particuliers.

L'auteur de l’étude a rapporté à la population le nombre d'annonces sur les sites suivants :

  • LeBonCoin pour la vente 
  • Airbnb et LeBonCoin pour la location de logement 
  • Blablacar pour le covoiturage 
  • Allovoisins, Stootie et LeBonCoin pour les services 
  • Zilok, Ouicar et e-Loue pour la location d’objets et de véhicules

Bordeaux arrive en tête

Résultat : pour la deuxième année, la ville de Bordeaux arrive en tête de l’indice urbain du partage. Comme en 2016, Lille occupe la deuxième place du classement.

Paris et Lyon tiennent la 3e et la 4e place, en forte progression vs 2016, qui s’explique principalement par le développement de nouvelles plateformes de location d’objets entre particuliers, marché sur lequel les grandes villes sont très bien placées.

Quelques enseignements

  • L'utilisation des plateformes dépend fortement des situations géographiques et des besoins locaux qui en découlent (en matière touristique notamment)
  • Le succès des plateformes d’hébergement dans ces villes s’explique également par des prix élevés de l’immobilier.
  • L’utilisation de plateformes de covoiturage et de vente d’objets liée à des besoins locaux
  • Le bon développement de la vente d’objets entre particuliers est corrélé à la faiblesse des revenus. Amiens occupe la première place de cette catégorie, suivie de Reims et Tours. 

Pour comprendre l’évolution de ces nouvelles pratiques, cet indice de la consommation collaborative sera recalculé chaque année par le cabinet Asterès. Ce dernier espère à l'avenir pouvoir affiner ses statistiques en y incluant les petites villes.


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  • Date de Publication: 22/05/2017
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Par Grégoire Leclercq, cofondateur Observatoire de l’Ubérisation, ancien officier de gendarmerie, et Laurent Selles, fondateur de Guardio

Santé, transport, tourisme, restauration, logistique, petite livraison, artisanat, beauté : de nombreux secteurs racontent comment ils se font bousculer par des startups agiles et innovantes sachant savamment manier nouvelles technologies (plateformes internet, IoT, Big Data, IA et Robotisation) et modèles économiques (modèle flexible de désintermédiation ayant recours aux indépendants). Tour d’horizon dans le monde de la sécurité.

Un secteur large

Sécurité régalienne (Gendarmerie, Police, Services de Secours, etc.) ou sécurité privée (Sociétés de sécurité privée, éditeurs de logiciels, fabricants de matériel), ce secteur couvre de multiples missions (Contre Terrorisme, renseignement, police judiciaire et administrative, secours aux personnes, surveillance des biens, télésurveillance, systèmes d’alarme, cybersécurité, sécurité informatique…). Pour près de 60 milliards d’euros par an, il emploie 330 000 salariés rien que dans le privé.

Les 250 acteurs majeurs de la sécurité (dont Securitas, Prosegur) de plus de 500 salariés captent les ⅔ du marché de la surveillance humaine en vendant à grande échelle le métier d’agent de sécurité. Métier parfois décrié mais contrôlé et régulé depuis 2012 (date de création du Conseil National des Activités Privées de Sécurité). Cependant, les stratégies de protection et de sécurité ne sauraient se limiter au seul déploiement d’agents de sécurité. On parle ainsi de technologies variées, allant de la vidéosurveillance à la détection d’intrusion, de la domotique aux objets connectés (qui ouvrent aux particuliers un marché jusqu’alors essentiellement tourné vers les professionnels). L’autosurveillance offre par exemple la possibilité d’être alerté par sa caméra connectée dès lors qu’elle détecte un mouvement: une notification est envoyée sur votre smartphone et une intervention permet de lever les doutes si nécessaire.

L’Ubérisation de la sécurité privée

Avec 170 000 agents de sécurité, soit près de trois fois plus que de chauffeurs de taxis, et un contexte de très forte demande suite aux attentats, le modèle de plateforme d’« agent de sécurité à la demande » émerge. Comment trouver un agent de sécurité ? A quel prix ? comment payer ? Quand est-il disponible ? Pour répondre à ces questions, Guardio a appliqué le « modèle Uber » à la sécurité privée et permet de réserver simplement les services d’agents de sécurité, partout en France. Les demandes en ligne des clients sont redirigées vers des prestataires sélectionnés et triés sur le volet. Le prestataire acceptant la demande en premier est rémunéré via la plateforme après que Guardio a prélevé le client. Le prestataire et le client sont invités à noter et commenter l’expérience à la suite du service.

Résultat immédiat : Guardio s’appuye sur plusieurs milliers d’agents répartis sur tout le territoire et offre leurs services aux professionnels comme aux particuliers, un développement qui a valu à la startup une nomination aux Trophées de la Sécurité.

Plus de données, plus de risques

L’autre enjeu posé par ce modèle (et notamment par les systèmes collaboratifs) concerne la donnée. Ces plateformes collectent une donnée immense, très fiable, géolocalisée, de façon permanente et très ouverte. Cela pose des questions de fond sur de nombreux cas d’usage :

  • Je tague sur Facebook mes amis : son moteur de reconnaissance faciale est devenu l’acteur mondial numéro 1 d’identification de visages (programme DeepFace et acquisition récente de FacioMetrics, startup spécialisée dans le domaine)
  • Je laisse les empreintes de mes déplacements du fait de la géolocalisation permanente de mon smartphone : un hacker en herbe peut de manière quasi instantanée retrouver ma position, et donc me nuire, ou cambrioler sereinement mon domicile car me sachant à l’autre bout du pays. Le cas d’usage est identique en matière de domotique (piratage des webcams, caméras de surveillance ou autres systèmes de pilotage de la maison)
  • Je signale sur Waze la position des forces de l’ordre : quel jeu d’enfant pour les braqueurs ou les dealers en Go-Fast que de les éviter désormais !

Ubérisation et intégration des données : deux leviers pour mieux protéger

L’ubérisation de la sécurité transfère sur la toile une expérience qui était jusqu’alors entièrement hors ligne et optimise notre sécurité. De même avec la donnée consolidée et intégrée qui devient la fondation d’une intelligence augmentée : me sachant à l’étranger, mon système d’alarme ajuste automatiquement sa sensibilité aux intrusions et sollicite directement une intervention.

L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique - Albert Einstein

L’avenir incontournable de la plateforme collaborative dans la sécurité est donc d’évoluer en véritable plateforme technologique, connectant les acteurs humains, les alertant intelligemment et leur offrant les moyens d’intervenir de manière adéquate dans les situations à risque. Pour mieux protéger, l’agent de sécurité devient 100% connecté. Et demain ? L’agent de sécurité du futur sera-t-il un robot ? Autonome et intelligent ?


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"L’UE devrait avoir pour objectif de récolter les bénéfices de l’économie "collaborative" tout en garantissant le respect d’une concurrence équitable, des droits du travail et des obligations fiscales."

Résoudre les "zones grises" de l'économie collaborative

Dans une résolution non contraignante adoptée mercredi 03/05/2017, les députés ont souligné la nécessité de résoudre les "zones grises" sur le plan réglementaire, qui provoquent des différences significatives entre États membres en raison des réglementations et jurisprudences nationales et locales. Ces nouveaux modèles d’entreprises vont des services de fourniture d’hébergement (par exemple Airbnb) aux trajets en voiture (comme Uber), en passant par les services domestiques.

Parmi les recommandations des députés figurent notamment les points suivants:

  • Fournisseurs particuliers vs professionnels: des critères effectifs pour distinguer les "pairs" (soit les citoyens qui fournissent des services de façon occasionnelle) des "professionnels" sont nécessaires, incluant des principes généraux au niveau européen et des seuils au niveau national (basés par exemple sur les revenus);
  • Droits des consommateurs: des informations doivent être fournies aux consommateurs quant aux règles applicables à chaque transaction et à leurs droits; les plateformes collaboratives devraient mettre en place des systèmes pour introduire les plaintes et résoudre les litiges;
  • Responsabilité: la Commission européenne devrait rapidement clarifier la responsabilité des plateformes collaboratives;
  • Droits des travailleurs: des conditions de travail équitables et une protection adéquate pour tous les travailleurs de l’économie collaborative devraient être garanties; les travailleurs devraient également pouvoir transférer et accumuler les notations et évaluations électroniques des utilisateurs - qui représentent leur "valeur marchande numérique";
  • Fiscalité: des obligations fiscales similaires devraient être appliquées aux entreprises qui fournissent des services comparables, que ce soit au sein de l’économie traditionnelle ou de l’économie collaborative; les députés plaident pour des solutions innovantes afin de renforcer le respect des obligations fiscales et appellent les plateformes à collaborer en ce sens.

Néanmoins, le règlement ne devrait pas limiter l’économie collaborative, affirment les députés, condamnant en particulier les règlementations imposées par certaines autorités nationales "qui cherchent à restreindre l’offre d’hébergement touristique mis à disposition".

Le rapporteur de la commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs, Nicola Danti(S&D, IT), a déclaré

L’économie collaborative est un nouveau phénomène qui est source tant de nouvelles opportunités que de multiples défis. Nous avons, par conséquent, besoin d’une stratégie européenne pour ouvrir la voie à un ‘écosystème’ harmonisé et dynamique, composé de règles spécifiques et de principes généraux. Notre priorité devrait être de garantir une concurrence équitable entre les secteurs économiques traditionnels et le nouveau monde de l’économie collaborative, afin d’assurer un niveau élevé de protection pour les consommateurs et d’encourager un modèle collaboratif européen qui contribuerait au développement durable de la société européenne

Infographie

Que ce soit pour se déplacer, se loger ou trouver des financements, l’économie du partage fait désormais partie de notre quotidien : un Européen sur six a déjà utilisé une plateforme collaborative, et la France est l’État membre qui compte le pourcentage le plus élevé d’utilisateurs. Dans un rapport adopté ce 3 mai en commission du marché intérieur, les députés soulignent l’importance d’une stratégie européenne pour garantir le respect de la concurrence équitable et des droits du travail.

L’économie collaborative désigne un modèle d’offre, d’échange ou d’utilisation de services entre particuliers. Parmi les plates-formes les plus connues, on retrouve Uber, Deliveroo, Airbnb ou encore Blablacar. Ainsi, une transaction implique en général trois parties : le consommateur, le fournisseur et la plateforme qui peut obtenir une commission sur le paiement.

Pourtant, toutes les plateformes ne cherchent pas à générer du profit : certaines reposent par exemple sur les contributions volontaires de leurs utilisateurs. C’est le cas de Wikipedia, aujourd’hui plus grande encyclopédie au monde avec près de 5,4 millions d’articles disponibles en anglais.

Le succès de ces plateformes pose de nouveaux défis liés aux droits des travailleurs. Par exemple, les chauffeurs ou les livreurs ne sont pas directement des employés des plateformes. Les considérer comme des travailleurs indépendants permet aux plateformes de s’affranchir de garantir certains droits sociaux, tels qu’un salaire minimum.

A lire

  • Le rapport, adopté en commission parlementaire par 31 voix pour, 1 voix contre et 3 abstentions, sera mis aux voix lors de la session plénière des 12-15 juin.
  • Un sondage Eurobaromètre de 2016 a révélé qu’une personne sur six dans l’UE avait déjà eu recourt à des plateformes collaboratives. Ce rapport représente la réponse du Parlement à la communication de la Commission sur un agenda européen pour l'économie collaborative.
  • L'infographie

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L’Uberisation, expliquée en 3 minutes

A retenir :

  • Nous allons  vers une économie de services plutôt qu’une économie dite ou bien de production ou en tout cas de possession.
  • Nous avons en permanence des évolutions sociologiques en même temps que des évolutions dites de business models.
  • La « servicisation » est présente derrière ces modèles : elle permet à n’importe qui d’être producteur de services.
  • L’économie des services c’est l’arrêt des possessions et l’arrêt des usages. Le produit est désormais au service du service. 

 


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Une association Belge pour l'excellence

Bbest est une organisation Belge sans but lucratif qui a pour mission de promouvoir l’Excellence sur le territoire belge.

Organisation composée de près de 200 membres (toutes tailles, tous secteurs), elle est le point de rencontre des entreprises qui cherchent à exceller sur leurs marchés et dans leurs activités.

Bbest est également Partenaire National de l’EFQM (European Foundation for Quality Management) et représente celle-ci en Belgique.

Une conférence musicale, interactive et innovante

Le terme d’agilité a fait son apparition il y a quelques années dans le domaine du management et des ressources humaines. Pourquoi l’agilité favorise t-elle la performance ? Comment la développer dans son organisation ? Quels en sont les impacts sur le pilotage et le management des équipes ?

Pour aborder ces sujets d’actualité, Bbest organise le 19/05/2017 une journée de rencontres, d’exposés, d’échanges d'expériences et de débats à l’intention de professionnels pour qui l’Excellence constitue un moteur et une source d’inspiration.

Cet évènement sera également l’occasion d’acquérir ou de parfaire sa connaissance sur les stratégies et instruments qui permettent d’accroitre l’agilité de votre organisation.

A 15.00, grégoire leclercq viendra exposer sur le thème "UBERISATION : Un ennemi qui vous veut du bien ?"

Grégoire Leclercq est président de la FEDAE, membre du CODIR d'EBP, cofondateur de l'Observatoire de l’Uberisation.

En pratique

 


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  • Date de Publication: 15/05/2017
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Comment les plate-formes de services défient notre modèle social ?

Uber, Deliveroo, Airbnb... Les services issus de l'Internet sont très appréciés pour leur flexibilité mais ils exigent que chacun se transforme en entrepreneur indépendant. Un système difficilement compatible avec la solidarité nationale, basée sur le salariat. Comment évoluer ? 

Avec :

  • Bruno Teboul, philosophe, chercheur en data sciences, et auteur de "Ubérisation = économie déchirée ?" et "Robotariat : critique de l'automatisation de la société"
  • Grégoire Leclercq, cofondateur de l'observatoire de l'Uberisation, auteur de "Ubérisation : un ennemi qui vous veut du bien ?"

Ils sont tous deux membres de l'Observatoire de l'Ubérisation.

Evénement en partenariat avec Rue89 Strasbourg et animé par Pierre France.

Les auteurs dédicaceront leurs ouvrages à la fin de l'événement.

En pratique

  • Entrée libre (dans la limite des places disponibles)
  • https://www.facebook.com/events/617226311802851/ pour s'inscrire
  • Adresse : Le Shadok : Les Dock's 25 Presqu’île André Malraux, 67000 Strasbourg
  • Date et heure : jeudi 18/05 de 19h à 22h
     

 


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Les 1000 visages de l'Ubérisation

Le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) Montargis-Gâtinais organise une conférence-débat sur le thème "Uberisation et économie participative" au Tivoli le 11 mai 2017 à 18h45.

Ce sujet vous intéresse, vous questionne, vous inquiète ou vous donne des idées ?

Venez comprendre les leviers, les enjeux, les risques ou les opportunités de ce sujet afin de pouvoir anticiper en toute connaissance de cause.

La conférence.qui sera animée par Grégoire Leclercq, cofondateur de l'observatoire de l'ubérisation

Elle sera suivie d'une table ronde en présence de chefs d'entreprises (BTP, Déménagement, Taxi, ..) et de personnalités politiques locales (Président du Conseil Régional, Député-Maire, ..)

Les échanges se poursuivront lors du cocktail dînatoire (35 €)

Pour plus de détails :

  • https://www.facebook.com/cjd.montargis/
  • http://montargis-gatinais.cjd.net/
  • par teléphone : 06 20 35 86 05

La conférence-débat est gratuite mais nécessite une inscription.

Le nombre de  places est limité, ne tarder pas à vous inscrire sur https://www.weezevent.com/uberisation


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AccesSecurity

AccesSecurity est l’évènement 100% business du secteur de la Sécurité qui regroupe sur un seul lieu :

  • Un salon haut de gamme – Des stands adaptables aux besoins des exposants pour recevoir leurs clients et des services pour faciliter la mise en relation : des rendez-vous pré-organisés et un service de mini restauration dans des lounges ouverts à proximité de votre stand pour prolonger vos échanges dans un cadre agréable.
  • Un colloque de haut niveau – Au cœur du salon, dans une agora ouverte, le colloque propose 3 jours de débats et d’expertise des sujets sensibles, animés par des professionnels.
  • Des workshops, organisés dans des salles dédiées dans le salon, pour permettre aux exposants de valoriser leur savoir-faire et aux partenaires d’approfondir les thèmes du colloque.

Ubérisation de la sécurité ?

Le 30/03/2017 à 10H00, le colloque abordera la question "Les géants de la high tech vont-ils s’accaparer la profession de la sécurité ?"

  • Quels sont leurs investissements dans la sécurité électronique ?
  • Est-ce que les GAFA avec leurs énormes moyens financiers vont rafler la mise ?
  • Quelles perspectives pour l’ubérisation de la sécurité ?
  • Quel rôle pour les objets connectés et le cloud ?
  • Transiter par le Cloud pour ses données de Sureté : un nouveau risque ?
  • Quels financements pour les start-up de la sécurité ?

Avec

Stéphane BIDAULT, Président d’USP Technologies
Anne BOUVEROT, présidente de Safran I&S, membre du bureau du CICS (Conseil des Industriels de la confiance et de la sécurité)
Mikael DUBREUCQ, IoT Marketing Director chez INSIDE SECURE et représentant du GT IOT Security du pole SCS
Luc JOUVE, Président de GPMSE Installation
Grégoire LECLERCQ, Cofondateur de l’Observatoire de l’Ubérisation
Pascal LE ROUX, Vice Président d’IGNES et Président des métiers de la Sécurité Electronique


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Animé par la Fédération Nationale des auto-entrepreneurs (FNAE), cet observatoire a pour but d'analyser l'ubérisation, d'apporter un constat précis et de proposer des pistes de réflexion autour de la réforme du code du travail, du dialogue social, de l'évolution du Droit, de la protection des travailleurs affiliés aux plateformes...

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